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  • SFR m'exaspère! (Je suis poli et courtois mais ça ne va pas durer!)

    SFR m'exaspère. Je ne parlerai pas de l'incompétence et de la nullité crasse des vendeurs en boutique. Des stagiaires perpétuels, jamais au courant des dernières offres, jamais un responsable doté d'une solide paire de bollocks capable d'apporter des réponses pertinentes, d'assumer les erreurs et capable de proposer des solutions commerciales répondant aux problèmes soulevés par une clientèle exaspérée.

    Comble de la désinvolture, du foutage de gueule et n'ayons pas peur des mots, de l'escroquerie: l'assurance!

    Un conseil en passant! Ne jamais souscrire d'assurance! Quel que soit le dommage qui vous arrivera par la suite, il ne sera pas couvert (en vertu de clauses absconses et d'exceptions improbables...).

    Histoire en cours: je souscris un abonnement pour ma fille N°2, il y a 3 ans. Forfait bloqué et assurance, on ne sait jamais, l'enfant entrant en 6ème est parfois fantasque. Le portable, objet du désir peut toujours être noyé, écrasé par un bus, victime d'un crash test, démonté, volé, qui sait... Vient le jour où l'on souhaite résilier ladite assurance. L'enfant a grandi, s'est responsabilisé. Les ennuis commencent. Car si la souscription se fait chez SFR, la résiliation doit se faire chez l'assureur... Le boutiquier-stagiaire lâche les coordonnées de l'assureur. Lequel me dit, au bout de quelques longues minutes d'appel surtaxé, que je ne frappe pas à la bonne adresse, car Protect Intégrale c'est Affinity Solution. Il a le bon goût de me donner un numéro de téléphone. Que j'appelle. Sans succès. Rien au bout du fil. Sinon une invitation à les contacter par mail ou par courrier. Les conseillers étant comme par hasard TOUS occupés!

    Et SFR s'en fout! Donnant inlassablement les mêmes numéros de téléphones et faisant comprendre à ses clients qu'ils doivent se démerder seuls avec l'assureur.

    Un garçon patient je suis. Mais ma patience s'use. 

    A suivre!

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  • Bloc-note express N°96

    ile.jpgLa possibilité d'une île... L'impossibilité d'une île... Débat Houellebecquien... Je n'aime pas Houellebecq. Je n'aime pas les proclamés "plus grand écrivain français"... Mais revenons à nos îles. Quelques jours d'isolement insulaire. Soleil, rochers et mer. L'île est un espace clos. L'île est peu connectée. Un comble pour le geek qui se découvre une forme de bizarrerie d'existence sans fil, sans réseaux ni connections... Ou presque...

    D'abord la 3G... Internet Everywhere proclame Monsieur Orange...  La clé 3G, 3G+... Appendice disgracieux qui même accroché au bout d'un cable parfois ne capte rien. Ou si peu. Ou de temps en temps. C'est selon.  A condition de ne rien avoir à télécharger. Rien de lourd à consulter. A moins de n'avoir que Google ou Cragislist à consulter. Pas de couleurs. Pages légères. Pas de sophistication graphique de l'interface. Monsieur SFR n'a pas a pavoiser non plus. Aucun signal n'est capté. L'île entre Granville et Saint Malo est oubliée des opérateurs télécom. Internet Everywhere... La blague de la saison.

    Jours d'isolement où l'on mesure le degré de dépendance aux nouvelles technologies, mais aussi le mythe du travailleur mobile. Le mythe de l'hyper-connectivité. Hyper-connecté, certes, à terre, en ville. Pas sur une nationale entre Villedieu Les Poëles et Granville. Le bocage normand conserve ses mystères.

    levison.jpgOù l'on se pose la question de la vie sans Internet... A quoi bon? C'est une telle évidence urbaine. C'est une telle abstraction dans certains coins. Vivre sans Twitter, ni Facebook... Possible. Une forme de luddisme estival. Vivre sans bloguer... Quelques jours de break sans envie de produire quoi que ce soit. Lire, en revanche. Retrouver le contact du papier. Du livre, le machin qu'on emporte partout et que l'on retrouve gondolé au fond d'u sac de plage, plein de sel et de grains de sable et de mica. Iain Levison, le régal de l'été. Tribulations d'un précaire, Une canaille et demi (Editions Liana Levi). Plume acerbe. Dénonciation acide et pleine d'humour des dérives du grand capital et de l'impact de l'économie moderne sur l'homo sapiens.

    Eté japonais, il y aurait des chapîtres entiers à consacrer à un sujet aussi riche. L'honorable partie de campagne de Thomas Raucat (Folio), la Chronique japonaise de Nicolas Bouvier (Petite Bibliothèque Payot). Deux ouvrages légers et riches pour comprendre l'âme de la société japonaise. L'un écrit dans les années 20, le second parlant du Japon des années 50 à 70. Un régal absolu pour le nippophile qui regrette ses virées annuelles à Asakusa et Akihabara.

    Fin de la période dite "de vacances". Reprise de la vie parisienne. Certains aiment le Paris désert du mois d'août. Un Paris étouffant. Sans vie. Dernière semaine d'août, Paris s'éveille. Enfin!

    Plein de projets, champs des possibles analysé tout l'été. Du changement dans l'air, de la continuité aussi. Affaires à suivre. Du consulting, de l'entreprenariat. L'excitation, l'odeur de la poudre.

    Enjoy!

     

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