Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

république

  • Flaneries parisiennes

    J'ai fait du sport. Et j'ai carrément mal partout.

    J'ai traversé Paris, en roller. Il faisait beau. Je suis allé du côté de République. 

    J'ai vu les slogans, les poèmes, les citations écrites sur les murs, sur le sol. Ca m'a rappelé quelques épisodes de ma jeunesse. Les mots, les phrases de Gandhi, Dom Helder Camara. C'était le matin. Un mec grattait sa guitare à l'entrée d'une construction genre yourte modèle bidonville. J'ai compris qu'en gros, le grand capital c'était le mal et qu'il fallait de l'amour. J'ai pensé à Simon & Garfunkel. Les mots des prophètes sont écrits sur les murs du métro, qu'ils disaient. So what? On va où? 

    J'ai repris ma ballade en écoutant Iggy. 

    Il faisait beau.

    J'ai pris un café en terrasse.

    Les jambes raidies par le manque d'exercice.

    Voila. 

    Fin de la parenthèse.

     

     

    Catégories : Humeur Lien permanent
  • Vu dans les pages "Débats" du Monde...

    ... une remarquable tribune d'Ahmed Charai, Directeur de l'hebdomadaire marocain "La Vérité", à propos des Maghrébins face à l'élection présidentielle. 

    Le Dubuc's blog est jusqu'à présent peu intervenu sur des thèmes politiques. J'ai toujours considéré que sa vocation initiale ne s'y prêtait pas. Toutefois, la promesse de ce blog est aussi de s'intéresser au monde qui l'entoure, qui nous entoure. Sortir du virtuel de temps en temps, sortir des question technologiques, médiatiques ou musicales, et entrer dans le "dur" dans le débat. Par curiosité. Par esprit d'ouverture. 

    Dans sa prise de position, Ahmed Charai prône l'intégration, expliquant fort justement la difficile sécularisation des pays du Maghreb dans leur accession à la modernité. Et la nécessité pour les communautés vivant en France de ne pas tomber justement dans le piège d'un communautarisme marginalisant. Une approche ouverte. De bonnes pistes de réflexion. Un appel à l'apaisement des tensions nées de l'histoire coloniale.

    A lire ci-dessous.

     

     

    Lien permanent