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  • #22 - Les Madeleines de Mr Dubuc: Echo & the Bunnymen

    Villiers Terrace, Echo & the Bunnymen. Aucune version live n'est totalement à la hauteur de la version de l'album Crocodiles, les guitares remplaçant sur scène les envolées karmiques de clavier. Reste un morceau envoutant par l'un des groupes-clé de la new wave anglaise.

     

     

     

     

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  • #21 - Les Madeleines de Mr Dubuc: AC/DC

    Pas de ballades chez AC/DC. Le groupe n'a jamais cédé à la tentation du slow sirupeux. Impossible de pécho sur du AC/DC à moins de tomber sur une headbangueuse acharnée... Faudrait voir du côté du HellFest si la chose s'est produite. Pas de ballades, donc, mais des morceaux au groove lubrique. La salacitude, quoi... Touch Too Much, avec Bon Scott, avant son apéro fatal...

     

     

     

     

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  • #20 - Les Madeleines de Mr Dubuc: The Ramones

    The Ramones, l'un de mes groupes fétiche. Phil Spector aux manettes. Un tube des Ronettes, Baby I love you, où la rencontre improbable du groupe punk le plus déchiré du siècle dernier avec le producteur le plus barré de l'époque. Résultat des courses, les 3/4 des Ramones sont morts, Spector est en taule. Et le morceau est une sorte d'hallucination improbable...

     

     

     

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  • #19 - Les Madeleines de Mr Dubuc: Marianne Faithfull

    Lady Marianne. Marianne Faithfull. Un mythe. Vivant. A la différence de Nico. Marianne et sa voix angélique des années 60. Marianne et sa voix cassée des années 80. Ashes In My Hand, un des morceaux les plus bouleversants qu'il m'ait été donné d'écouter. Un soir de déprime, histoire de filles inacessibles, de déception amoureuse un soir dans les années 80. Le genre de soir où tu éteins la lumière seul dans ta chambre de cité universitaire et où tu te passes en boucle Ashes In My Hand, pour son refrain glaçant, taken in complete despair, taken in complete despair, taken in complete despair...

     

     

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